LE LEE x Le Livre à Metz : Carte blanche à L’Homme Etoilé / dédicaces et rencontre

C’est avec une grande joie que nous reprenons nos activités là où elles s’étaient arrêtée en 2020 ! Nous sommes heureux que L’Homme Étoilé ait, de nouveau accepté notre invitation 🙂 Vendredi 18 juin 15h : ouverture de l’exposition
Samedi 19 juin de 14H à 18H entrée libre exposition
Dimanche 20 juin de 14H à 18H dédicace et entrée libre exposition (attention réservation obligatoire pour dédicaces 😉 les deux opus de l’auteur seront dispos au LEE) résa dédicace à roxane.lippolis@le-lee.com  

« Un marshmallow coincé dans une armoire à glace » : 1m93, tatoué, fan de Kiss, infirmier en soins palliatifs et auteur-dessinateur, L’Homme étoilé s’est fait connaître sur Instagram, où il raconte dans des dessins poignants son quotidien et celui de ses patients en soins palliatifs à ses abonnés toujours plus nombreux. Son premier roman graphique, A la vie!, a connu un véritable succès. Il publie en 2021 Je serai là aux éditions Calmann-Levy.  


jauge limitée / masque obligatoire etc …

Fatales! expo de Morgan Bodart au LEE les 14/15 et 16 juin 2019

FATALES !

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Mash-up vidéo et papier, lives, fanzines, cinéma et reggaeton.

Guerrières, combattantes et émancipatrices.
Je leur donne la part belle dans mes fictions : de celles qui brandissent l’épée à celles qui se trémoussent il n’y a qu’un pas.
Notre carcan est obsolète, tout reste à jouer !

Vernissage, vendredi 14 juin 2019 à 19h
Performance VJing FATALES !
Dimanche 16 juin 2019, finissage à 18h
Performance audio-visuelle Queens Only Desire Drums, en collaboration avec Simon Le Moing

 

 

 

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LEE résidents hiver 2018 Maxime LE MOING

Maxime Le Moing
Autour du film « Les soldats sont des DJs »
vernissage le vendredi 16 mars à 18H30
exposition visible les 16/17 et 18 mars 2018 de 14H à 18H

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L’industrie de la guerre et celle du divertissement entretiennent des relations soudées. La guerre est devenue film par l’usage de multiples armes technologiques appelées effets spéciaux. Ces outils transforment la scène de combat en un véritable plateau de tournage. Il s’agit à présent de faire la guerre proprement, sans trace de blessures et médiatiquement plus acceptable. Cette propreté passe par la déclinaison d’ustensiles de guerre en produit de divertissement, et vice et versa. C’est ainsi que les sounds systems utilisés pour les salles de cinéma ou les frees partys furent tout d’abord employés par l’armée, que l’utilisation en boucle des musiques d’Eminem ou de Metallica ont rendu la torture sonore plus douce, que les drones utilisés par l’armée se retrouvent à présent en vente en magasin. Un hommage fut même rendu au film Apocalypse Now en réactivant la fameuse scène de la « chevauchée des walkyries » durant une attaque à Bagdad.

Les frontières sonores se retrouvent à présent dans un balancement indéterminé entre jeu, culture et guerre dont Maxime Le Moing en propose diverses interprétations artistiques. En s’inspirant des essais de Juliette Volcler et des concepts de « cinémas imaginaires » propres aux cinéastes lettristes des années 50, le modeleur propose, dans le cadre de sa résidence au Lée, un film qui fut mystérieusement saboté par un membre de l’équipe durant le tournage. Ce métrage s’intitulait « Les soldats sont des DJs » et avait pour ambition d’être une fiction documentaire sur l’utilisation de musiques populaires et de leurres sonores dans l’usage de la guerre. Seuls quelques éléments ont être pu récupérés du tournage (croquis, enregistrements sonores, premières pellicules). À partir de ces preuves éparses, le public est invité à recomposer le film par représentation mentale.

Week End de l’art contemporain Grand Est; Le LEE accueille Emmanuelle Potier

exposition les 17/18 et 19 mars 2017

vernissage le 17 mars à 18H30 en présence de l’artiste.

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Cher Jean, 

Décidément, on ne l'aime pas. Dépassé de loin par le bleu, il se positionne au dernier rang. On le déteste même, parce qu'il rappelle la maladie, symbolise la tromperie, le mensonge. Il évoque l'argent et la réussite, tant décriés par les moralisateurs.
Malheureux, il est mis au ban du cercle privé des couleurs préférées.
Pourtant, il se démarque à merveille du gris, du noir, du brun ou du bleu foncé, dominants. 
Une seule petite goutte dans le blanc et il devient lumière. 
Il est soleil, chaleur, vie, joie. 
Au-delà des sens, il offre une ambiance étrange. Il est mélancolie et contemplation quand il inonde les peintures métaphysiques de Giorgio De Chirico. Un temps suspendu, comme une rencontre. 

Alors, cher Jean, je t'avoue que je me range à tes côtés et que je choisis la lumière aux ténèbres. 
Le jaune. 

Emmanuelle

 

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